La grâce inspirerait-elle les cinématographies nationales à tour de rôle?
Il y a quelques années, les spécialistes ne tarissaient pas d'éloge sur la
vitalité de l'animation britannique. Aujourd'hui, c'est incontestablement
la France qui emporte la palme de la créativité et du dynamisme sur la
scène de l'animation européenne.
Fanas d'animation, voici l'occasion de découvrir en avant-première la crème
de l'animation française fraîchement sortie des laboratoires. Vitrine
biennale de l'animation française, le Festival d'Auch a présenté lors de sa
15ème édition début avril, une compétition et un panorama de films
d'animation, produits et réalisés dans l'Hexagone au cours de ces deux
dernières années.
Courts métrages d'auteurs confirmés, films d'étudiants et films de
télévision se succèdent dans ce concentré de talents.


Au programme:
Générique " Auch 2005 " Etudiants de seconde année de l'école de La
Poudrière de Valence, encadrés lors d'un stage par la réalisatrice Aline
Ahond, 30 secondes.
Cheval-soleil de Jean-Jacques Prunès, 28 minutes.
Riba de Yves Dalbiez et Élise Garcette, Laurent Leleu, 6' minutes
Un gros billet de Frédéric Martin, 4 minutes.
Pistache de Valérie Pirson, 9 minutes.
L'Éléphant et les quatre aveugles de Vladimir Petkevitch, 7 minutes30.
Cavanimox de Frédéric Barbe et Fabrice Senia, Hannibal Poenaru, Cyril
Tchernomordik, 6 minutes 30.
Une histoire vertébrale de Jérémy Clapin, 9' minutes.
Des câlins dans la cuisine de Sébastien Laudenbach, 8 minutes.
Raging Blues de Vincent Paronnaud et Lyonnel Mathieu, 6 minutes.
La Révolution des crabes de Arthur de Pins, 5 minutes.

Durée du programme : 1h30