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Martin Scorsese Masterclass in Cannes

 

 

 

SYMPHO ROCK - Concert exceptionnel à Paris de François Staal

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concert exceptionnel à Paris de François Staal, compositeur de musique de film et auteur, compositeur et chanteur, qui présentera sur scène, l'étendu de son univers musical en réunissant sur scène l'orchestre symphonique Symphonifilm et les Strange Wolves (groupe de scène du chanteur).

Merci d'avance, d'annoncer ce concert et de retenir la date pour venir le découvrir sur scène. 

 

denier album disponible : l'incertain

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Cristal production présente

 

SYMPHOROCK

du symphonique au rock

François Staal sera accompagné du groupe les Strange Wolves et

Symphonifilm, orchestre dirigé Steve Journey composé de 24 musiciens

 

Vendredi 10 novembre à 20h00 au Trianon - Paris

 

info : billeterie : 01 44 92 78 05

symphorock@lestaal.com

 

tarifs : cat1 : 34,90 euros : cat2 : 29 euros : carréor : 49 euros

 

www.symphorock-staal.com

 

Relations presse : 

François Vila - 06 08 78 68 10 - francoisvila@gmail.com

 

 

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François Staal

Si vous ne connaissez pas l’univers rock poétique de François STAAL, il s’apparente à celui de Nick Cave, Alain Bashung, Hubert-Félix Thiéfaine, Dominique A ou Rodolphe Burger, Radiohead, CharlElie…

D’ailleurs, Jean Fauque (paroliers de Alain Bashung) et CharlElie Couture, Emilie Marsh ont collaboré avec lui et chanté en duo sur certains de ses albums.

De ses débuts en cabaret à Montmartre... à L'Olympia (coup de coeur 2014 de L'Olympia), en passant par le Trianon, l'Européen, le Cabaret sauvage, le Divan du monde pour ne citer qu'eux.

Compositeur de musique de film. Après des études au lycée Henri iV, c’est en autodidacte qu’il aborde la musique de film. En près de 30 années, il compose plus de 60 musiques de films et 120 épisodes de séries pour le cinéma et la télévision.

En 2016, François Staal obtient le prix « Laurier de la radio et de la télévision» de la meilleure musique de film, du club audiovisuel de Paris, du Sénat et de la Mairie de Paris.

Admiratif de compositeurs un peu décalés comme Philip Glass, François de Roubaix, Mychael Nyman, Steve Reich, Ennio Moriconne ou Danny Elfman, il est néanmoins très attiré par les composition plus “classiques” de Maurice Jarre, Antoine Duhamel, Jerry Goldsmith et James Horner...

Sociétaire définitif de la Sacem, membre de l’Adami, de la Spedidam et de l’UCMF.

http://lestaal.com/

 

denier album disponible : l'incertain

 

 

 

Entretien avec François Staal

 

Tu es peux connu du grand public mais tous les professionnels de la musique te connaissent et t’apprécient ; peux-tu nous présenter brièvement ton parcours ?

Compositeur de musique de film, théâtre et tout ce qui est lié à « l’image », j’ai plus de 60 films, cinéma et (essentiellement) télévision, à mon actif, des épisodes de série qui ne se comptent plus.

J’ai travaillé avec des réalisateurs comme Philippe Triboit (Le village Français, Engrenages …), Laurent Jaoui, Didier Le Pecheur, Laurence Katrian, Arnaud Sélignac, Laurent Dussaux, etc …

J’ai eu le prix de la meilleure musique de film du Sénat et de la Mairie de Paris en 2016 pour le film « les fusillés » et des nominations pratiquement chaque année dans les festivals.
En parallèle je développe et fais vivre depuis 20 ans mon projet de chansons Française-Rock poétique. J’ai été coup de cœur de l’Olympia (pour mon 2ieme concert là-bas en 2014), et j’ai sorti mon 6ème album « L’incertain » en 2017 (13bis music) … Je suis signé chez Virgin/Delabel, EMI, Cristal Productions, Beuscher Arpège, 13 bis music avec mes albums …

J’ai joué dans presque « toutes » les salles parisiennes digne de ce nom et tourne partout en France et en Europe au gré des programmateurs …

 

L'originalité de ta création musicale est que tu sois aussi à l'aise en chanson qu'en musique de film. Comment s’est faite la passerelle entre les 2 domaines ? 
En réalité, il n’y a pas eu de passerelle ! Les deux domaines artistiques on grandit ensemble et simultanément, en parallèle mais sans jamais trop « se parler », indépendamment …
Et c’est pour cette raison que je tente cette « dé-schrizophrénisation » (néologisme à lire avec humour) avec ce spectacle SYMPHOROCK créé pour beaucoup à la demande de mon publique, et pour beaucoup pour réunir mes différents « fans ». Mettre en relation ceux qui apprécient mes musiques de film et ceux qui aiment mes chansons … C’est une demande forte que j’ai ressenti de la part de tous ceux qui estiment mon travail …

 

Parlons chansons :  Qu'est-ce qui t'inspire ? 

Hum … Chansons ? Il faut que ça bouge les lignes … surtout au niveau des textes …
Il faut que cela parle de l’humain, il me faut un combat, un engagement … Il me faut des musiques d’émotion, de témoignage … Emmener les gens en voyage, et « ouvrir » un interstice dans leur vision du monde, leur montrer qu’on est plusieurs, qu’on est ensemble, sublimer, partager … Ne pas raconter des histoires mais plutôt vivre une histoire ensemble : un concert, une écoute de CD …

Je ne suis pas « figuratif » mais plutôt entre « impressionniste » et « abstrait » …
La musique, l’émotion, le voyage … « Enivrez-vous » comme disait Baudelaire !

 

Si quelqu'un ne connait pas ton univers "chansons rock, est-ce qu'à l'écoute de ton dernier album "L'incertain" peut-on mieux te découvrir ? D'ailleurs, qu'as-tu voulu mettre en avant dans cet album ? 

« L’incertain » … Il a été écrit entre 2014 et 2016, mais il est sorti juste avant les élections présidentielles… Le titre s’est avéré bien choisi !

J’ai été assez loin dans ma recherche d’expression musicale et dans une recherche de la forme … C’est peut-être l’album un poil expérimental ou j’ai trouvé beaucoup de chose de moi-même, musicales et dans mon écriture …
C’est un peu un album « étalon » ou je trouve des limites, des frontières, ou plutôt, ou j’ai balisé mon territoire artistique … Car il reste beaucoup à explorer. C’est un album très personnel et qui correspond bien à mon état d’esprit de ces dernières années. J’ai commencé à écrire pour le prochain, partant de ce point d’encrage là … Il reste plein de voyages à faire … Je le défends sur scène en ce moment, avec la maturité de ces chansons maintenant possédées, et je me sens comme un dauphin jouant dans l’eau avec ce matériel !

 

Comment es-tu venu à la musique de film ?

Tout jeune garçon je tombe littéralement et régulièrement en extase en écoutant de la musique de film (Et du rock) … Musicien autodidacte (A la rue, à 17 ans), je suis complètement habité par la musique, je démarre la musique avec une envie dévorante. J’ai la chance d’avoir un ami (En galère aussi) dont le père est gérant du cinéma Champollion à Paris … Je passe mon adolescence, réfugié dans les salles et dans la cabine de projection (au milieu des bobines de films) du Champo à « écouter » les grands classiques du cinéma mondial (Séances permanentes). Ces films passent en boucle devant moi. J’imagine que c’est là que j’ai appris mon métier, toutes les plus belles B.O. en boucles … Par ailleurs, pour des raisons familiales complexes, je vis plusieurs années aux côtés de Chris Marker, un immense réalisateur, et inventeur (Notamment dans la création de ses bandes sons) …  Puis, je démarre avec une bande d’ami(e)s, rêvant de devenir acteurs et/ou metteurs en scène, en écrivant leurs musiques de spectacle (c’était des très petites choses à l’époque), puis le court métrage, puis le documentaire, puis on me repère, puis les films (ça c’est du résumé !) ;-)

 

Comment travailles-tu avec les réalisateurs ? 

Avec les réalisateurs, je travaille beaucoup sur les scénarios (Créations et écriture des thèmes musicaux avant le tournage) puis on reprend tout pendant le montage, et puis enfin, on reprend encore un fois le travail ensemble au débriefing quand le montage est fini !
J’essaye toujours de créer la musique que le réalisateur souhaite entendre, mais j’essaye d’y mettre mon « style » personnel, j’y tiens beaucoup, et le film lui-même nous guide énormément. C’est vivant, un film !  

 

Tu as fait de nombreux concerts afin de présenter tes chansons, qui sont d'ailleurs suivis, par un public de connaisseurs et exigeant. Aujourd'hui, tu proposes un concert qui réuni les deux facettes de ta musique sous le nom "Symphorock". Peux-tu nous dire comment as-tu conçu la programmation des œuvres programmées au Trianon ? 

Alors, oui, c’était bien compliqué … avec mes plus de 60 films et 120 épisodes de séries, etc …
Comme ce concert est parti dans une logique full indé (donc très peu de moyens) j’ai choisi des choses plutôt récentes car je ne voulais pas me contenter de reprendre les meilleurs morceaux de musique de certains film, mais, au contraire, je voulais écrire une petite « suite symphonique » avec une « histoire », des sortes de « couplet-refrain » pour chacun des films choisis …
Donc cela a orienté mon choix. Au départ vers des choses assez récentes pour des raisons de « fraicheur » dans mon esprit. Et puis aussi essayer de montrer des aspects différents de mon travail (Film d’époque, contemporain, de genre, etc …) mais gardant une « unité » et mon style, sans trop de redondances … Et enfin j’ai, bien sûr, profité de certains auteurs que j’ai eu le plaisir et l’honneur de servir … Maupassant, Camus, Aragon, Dumas, etc. … Comment passer à côté !
 

"Symphorock" donne l'impression de ne pas être seulement un concert, peux-tu nous expliquer comment as-tu conçu cette soirée ? 

Alors, avant tout, un voyage sous le signe de l’émotion (je l’ai dit je n’aime que les voyages intellectuels et émotionnels) … Nous allons partir dans l’univers de la musique de film, du symphonique, à travers des auteurs (voix, lectures de textes pendant la musique), des lumières magiques, des photos des films, des acteurs, des décors de l’époque, pourquoi pas quelques toiles d’artistes … Quelques extraits de films … des surprises … puis on se rapprochera du contemporain (Sujet des films) et à un moment donné on basculera dans le concert rock poétique, avec l’orchestre un temps, puis l’orchestre se fadera, se déconstruira, se dés-orchestrera, pour laisser mes « Strange Wolves » (Mon groupe de rock) et moi seuls en scène et on finira tous les amplis à fond, histoire de désacraliser tout ça et casser un peu le mythe du « compositeur » et tenter de prouver qu’on Peut être à la fois «  raffiné »  et rock … Et faire la fête … C’est un peu toute ma vie qui sera là ce soir du 10 Novembre 2017 !


 

 

 

 

 

Symphorock

Sur la scène du Trianon, François Staal sera accompagné par 30 musiciens qui présenterons des extraits de musiques composées par François Staal, accompagnés par une mosaïque d'effets sonores, de jeux de scène et de lumière, projections de vidéos et de photos extraites des films   :

  • Bel ami d’après Le roman de Maupassant
  • Aurélien d’après le roman d’Aragon
  • Camus le film (Albert Camus)
  • Les fusillés (Meilleure musique de film 2016 du club audiovisuel de Paris)
  • La dame de Monsoreau d’après le roman d’Alexandre Dumas
  • La guerre des ondes
  • La commanderie (La série)
  • Péril sur la base (Dernière composition de François Staal en avant-première avant sa diffusion)

François Staal, interprétera des textes de Charles Baudelaire et des titres de son dernier album « L'incertain" et d’autres albums. Il sera accompagné sur scène par l'orchestre Symphonique Symphonifilm dirigé par Steve Journey et par les Strange Wolves (le groupe de la tournée rock de François Staal) ainsi que l'actrice Sophie Gourdin

 

 

Symphonifilm   

Symphonifilm est un orchestre qui s'est créé en 2004 à l'initiative de Steve Journey et Boris Cacciaguerra respectivement compositeur - chef d'orchestre et violoniste.

Leur souhait : jouer et enregistrer de la musique de film avec l'ambition de rendre les musiciens plus accessibles à tous les compositeurs !

Symphonifilm s'est depuis développé en gardant la fraicheur des débuts pour devenir un orchestre alliant bonne humeur, bienveillance et professionnalisme.

Avec plusieurs dizaines de films à son actif, tel que :  « La vérité si je mens! 3 » de Thomas Gilou, « La peau de chagrin » de Alain Berliner, « lBrève de comptoir» de Jean-Michel Ribes, « La permission » de Philippe Niang (Prix de la meilleure musique de film au festival TV de Luchon), « Un viol » de Marion Sarraut (Prix de la meilleure musique au festival TV de la Rochelle), « Dallas » de Cynthia Cidre (pour la version française)...  

Symphonifilm à ouvert ses perspectives sur la scène avec des spectacles : “série séries”, “clownissimo”, “René l'énervé », “abracad'orchestre”...

Symphonifilm s'implique dans la pédagogie en participant aux formations d'orchestrations, permettant aux compositeurs d'aiguiser leur capacité à écrire pour un ensemble symphonique, avec 2 sessions d'enregistrements annuel.

Symphonifilm à réussi son pari : créer un orchestre avec des amis professionnels, un orchestre qui serait comme un groupe de rock !

 

Extraits de presse :

...A découvrir de toute urgence ! ... 

Alex Jaffray France 2 Télématin

 

...François Staal croit à l'énergie du don, à la poésie, au rock et au blues, "dans son sens musical et sons sens littéraire", comme il le souligne et le chante si justement dans "Je retiens ton écho"...

LE FIGARO

 

...Nous avions remarqué François Staal, lors de la Cérémonie des Lauriers de l'Audio-visuel 2015 à l'Hôtel de Ville de Paris, au cours de laquelle on lui remettait le trophée de la meilleure musique de film de l'année. En 2016, il s’est produit dans la mythique salle de concert du Trianon et ce fut un succès. Sa musique est très facilement identifiable, le tempo est particulièrement scandé, et le groove est indiscutable - ce qui donne à entendre une imagerie teintée de spiritualité...

Mylène Vignon - SAISONS DE CULTURE

 

Un poète rock rare, intense, bouleversant !

"Je pense être un poète rock hors des systèmes habituels, et je crois que c'est ce que les gens apprécient chez moi. Seul l'art, la culture et la poésie nous sauveront ..."

Nulle forfanterie dans ces propos de François Staal, rien que le constat d'un artiste lucide, honnête qui ne sais pas ce qu'il vaut car l'art ne se monnaie pas, mais qui sait ce qu'il veut, car l'art se donne. En parallèle de son métier de compositeur de musique de film, cet homme tranquille originaire de Rouen poursuit une trop discrète carrière de chanteur rock ... Ou plus exactement de "rockeur à texte". S'il fallait lui trouver une famille artistique, ce serait celle des Manset, Bashung, Arno, Burger, Couture et Thiefaine, grandes voix, fortes têtes et âmes seules. Publié en octobre dernier, son 5ème album "L'incertain" est une perle noire dont la mélancolie baudelairienne est tempérée d'une bienveillance camusienne, pour prendre deux références poétiques, (mais aussi philosophiques) qu'il a fait siennes. Chez lui, les mots, étranges et familiers à la fois, déploient des ailes de géant qui battent pour qu'on décolle, qui enveloppent pour qu'on s'apaise, et la musique atmosphérique, spleenétique, d'envahir les cœurs comme des paysages de bord de mer, chargés d'orages électriques, percés de rayons de soleil parégoriques et ouvert sur des horizons d'espoirs. Un cadeau bouleversant et consolant. Rare et précieux.

LE MIDI LIBRE. Mars 2017.

 

...Il est facile de se laisser happer par les émotions qui transpirent du timbre de voix de François Staal, profond, doux et mélancolique qui donne du brillant au texte. A découvrir sans plus attendre...

FRANCOFANS

 

...« l’incertain » un album magnifique !  ...

François Alquier LES CHRONIQUES DE MANDOR.

 

...Écoutez cet album calme et puissant, un rock poétique qui nous repose et nous conduit dans la réflexion, l’album est certainement magnifique si vous aimez les ambiances, la chanson qui dit des mots intelligents...

Ichigo Samuru - FROGGY’S DELIGHT

 

...A découvrir absolument ! Laissez vous aller à rêver. Un artiste qui cultive son originalité...

Christophe Diard - REBELLES LE MAG

 

...François Staal est un rockeur féru de poésie, "L'Incertain" douze chansons denses, empreintes d'humanisme, dans lesquelles il parle d'anges athées, des déracinés, de ses désirs d'évasion du côté des banquises de l'"Arctic Bay »… 

Annie GrandJanin - ANNIEALL MUSIC

 

...Après « L’irrespect” Le chanteur livre ici avec 12 titres bien denses, un album qui a une belle cohérence et dont les dimensions musicales sont très abouties. »
Tout est important, rien n’est léger pour François Staal, en recherche permanente. C’est un tourmenté qui s’écoute, mais ne se prend pas au sérieux. Le titre de l’album « L’incertain » le montre bien...

Annie Claire Hilga - LA MAGIC BOX

 

...Une première écoute de « L’incertain » suffit pour s’en convaincre : les filiations de François Staal sont limpides et évidentes. De Bashung à Thiéfaine en passant par Murat ou Couture, c’est toute une école pop rock chanson française qui est ici magnifiée. Du sens et du son qui syncopent notre quotidien et accélèrent l’oubli. Oui, les chansons de François et de sa petite famille effacent de notre mémoire toutes ces tristes fadaises de la bande FM souvent synonyme de RnB vocodé et nappé d’ignobles couches numériques formatées pour nos mobiles...

Hervé Devallan - ROCK MADE IN FRANCE

 

FRANÇOIS STAAL, ROCKEUR REBELLE INTEMPOREL. L’artiste nous parle de son nouvel album "L’Incertain", dans lequel on retrouve son rock brumeux et poétique. Celui que l’on compare à Bashung ou Thiéfaine évoque avec pudeur le rôle engagé de l’artiste. Son regard vif et lucide sur la société qui l’entoure le place en véritable témoin de son époque...

Camille Hispard - TOUTE LA CULTURE .COM

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