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the double switch

Film
Film
Original Title (If different): 
La double croisée
Language: 
French
Other languages or subtitles: 
French
Production country: 
France
Running time (In minutes): 
79
Theme: 
Comedy
Category/Format: 
Digital / DVD
Student film: 
No
Poster: 
Production year: 
January, 2012
Film Credits
About the Director: 

Jeancharles Atzeni, french director born in Tunis in 1966, has been contributing to film-making as assistant director since his twenties. For the last fifteen years, he worked on various projects, from feature films to advertising and corporate films, and collaborated with some talented french directors, such as Yves Boisset, Olivier Marchal and Christian Merret-Palmair. Jeancharles Atzeni directed advertising and corporate films, and a short film entitled "les voies détournées" selected in several French festivals. Recently, he attended the seminaries of visual anthropology of Stéphane Breton and started to work on projects of documentary films.

Film director: 
Jeancharles Atzeni
Producer: 
Annabelle Bouzom
About the Producer: 
<p>Les films de l&#39;autre cougar 40 rue des maronites 75020 Paris, France +336 30 92 53 50 lautrecougar@gmail.com</p>
Screenplay: 
Jeancharles Atzeni
Editing: 
Virginie Véricourt
Film photographer: 
Aurélie Lavillonnière
Sound: 
François Maurin
Music: 
Guilherme Carvalho
Costume: 
Delphine Brischoux
Decor: 
Linda Yi
Cast 1: 
Lucie Bernier
Cast 2: 
Samir De Luca
Cast 3: 
Jean Sélesko
Cast 4: 
Stéphane Brunini
Cast 5: 
Juliette Pouchet
Film synopsis: 
<p>In an experimental comedy blending wit with intimacy, we follow two characters as they film their way through Paris. While lighthearted Lucy records a women&rsquo;s rugby tournament for a sick teammate, reserved Kader documents life and love as a wedding videographer. Using a handheld camera style, the film gives viewers a naturalistic glimpse into two stories combined by a twist of fate. As Kader explores his past, Lucy captures the joyful energy of her teammates. Moving from one tape to the other, the film captures the commonalities and contrasts between Lucy and Kader&#39;s perspectives. When their stories collide in a public park, the two films combine into a new and unexpected story. Humorous, unique and romantic, The Double Switch explores love as the product of art and chance.</p>
Budget
Budget Range: 
Between $100 000 and $10 000
Technical infos
Technical infos
Original Film Format: 
HD
Format Ratio: 
16/9
Festival Selection, Awards...
Festival selection, awards or citation already received and other comments... :
Already selected in a Festival?: 
Yes
Festival selections: 

Calgary International Film Festival, September 2012 Portobello Film Festival, September 2012 Sport Movies and TV Festival : Milan, Beijing, December 2012

Film reviews: 
<p><strong>ENTRETIEN AVEC JEANCHARLES ATZENI, REALISATEUR </strong></p> <p><strong><em>Comment l&#39;id&eacute;e de ce film est-elle n&eacute;e ?</em> </strong></p> <p>Elle vient d&#39;une interrogation sur la d&eacute;mocratisation des outils audiovisuels que sont le cam&eacute;scope, l&rsquo;appareil photo, la webcam, le t&eacute;l&eacute;phone portable, internet&hellip; et sur leur omnipr&eacute;sence dans notre quotidien, comme spectateur ou comme usager. Chaque minute, 35 heures de vid&eacute;o sont charg&eacute;es sur Youtube&nbsp;! C&rsquo;est hallucinant&nbsp;! La plupart du temps, ces outils sont utilis&eacute;s sans autre fin que celle de conserver la trace d&rsquo;un &eacute;v&eacute;nement&nbsp;: film de famille, film de mariage, film de touristes&hellip; Et tout cela constitue une masse de potentialit&eacute;s, de vell&eacute;it&eacute;s, de tentatives, rarement d&eacute;velopp&eacute;e faute d&rsquo;un regard impliqu&eacute;, d&rsquo;une d&eacute;marche investie. Je me suis alors demand&eacute; ce qu&rsquo;on pourrait faire na&icirc;tre de la combinaison de ces mat&eacute;riaux&hellip; Comment on pourrait construire du sens en entrem&ecirc;lant des films amateurs&nbsp;? Ces interrogations sur la forme m&rsquo;ont men&eacute; &agrave; l&#39;id&eacute;e d&rsquo;un&nbsp;film qui se construit par hasard, qui na&icirc;t par hasard. Mais finalement, tu n&rsquo;as pas utilis&eacute; de films amateurs&nbsp;? Non. Impossible&nbsp;! Sans m&ecirc;me parler des probl&egrave;mes techniques qui les rendent inutilisables (son, image, compatibilit&eacute;&hellip;), comment trouver les &eacute;l&eacute;ments qui pourraient fonctionner, parmi les centaines de millions de vid&eacute;os pr&eacute;sentes sur le net&nbsp;? On d&eacute;passe largement l&rsquo;aiguille perdue dans la botte de foin&nbsp;!&hellip; Il fallait donc recr&eacute;er le hasard. Imaginer des s&eacute;quences film&eacute;es par des personnages tr&egrave;s quotidiens et faire semblant d&rsquo;utiliser des cam&eacute;scopes &laquo;&nbsp;grand public&nbsp;&raquo;. Enfin, l&#39;id&eacute;e des deux cam&eacute;ras est venue d&rsquo;une r&eacute;flexion simple : pour qu&#39;il y ait naissance, il faut qu&#39;il y ait rencontre. Deux cam&eacute;ras se croisent, deux personnes se rencontrent et de l&agrave; nait un film. Mais je ne voulais pas faire un film exp&eacute;rimental dont beaucoup de spectateurs se seraient sentis exclus&hellip; Je cherchais un espace pour faire entrer de l&#39;exp&eacute;rimentation dans un spectacle qui reste populaire.</p> <p><em><strong>L&#39;id&eacute;e de la forme du film serait donc venue avant celle du fond ?</strong></em></p> <p>Elles sont confondues. La forme est ici, en m&ecirc;me temps, le fond de l&#39;affaire. Mon interrogation centrale r&eacute;side dans l&#39;ad&eacute;quation des deux. Personnellement, les artistes qui m&#39;interpellent le plus, sont souvent ceux qui font de leur discipline l&rsquo;objet central de leur &oelig;uvre.</p> <p><em><strong>Tu peux nous en citer quelques uns&nbsp;?</strong></em></p> <p>En peinture par exemple, Morris Louis et Pierre Bonnard (qu&rsquo;on prend &agrave; tord, selon moi, pour un &laquo;&nbsp;d&eacute;coratif&nbsp;&raquo;). En litt&eacute;rature, Proust, Georges P&eacute;rec et aujourd&rsquo;hui Eric Chevillard. Dans ce type de d&eacute;marche, l&rsquo;histoire passe apr&egrave;s la mani&egrave;re, ou plut&ocirc;t, la v&eacute;ritable histoire c&rsquo;est la mani&egrave;re dont elle est trait&eacute;e. L&#39;histoire au sens de &laquo;&nbsp;raconter une belle histoire&nbsp;&raquo; devient alors secondaire. En fait, je crois qu&rsquo;il n&rsquo;y a pas de mauvais sujet. Ils peuvent &ecirc;tre mal trait&eacute;s, ou maltrait&eacute;s (rires), mais mauvais en soi, je ne crois pas. Apr&egrave;s, c&#39;est presque une question d&rsquo;&eacute;thique : je pense qu&#39;on doit se m&eacute;fier du sujet fort, de celui qui contraint le spectateur &agrave; l&#39;adh&eacute;sion, non pas par la qualit&eacute; propre au travail de l&rsquo;artiste mais par la gravit&eacute; ou l&#39;acuit&eacute; du th&egrave;me en lui-m&ecirc;me : l&#39;&oelig;uvre devient incritiquable parce qu&#39;on la confond avec le sujet. C&#39;est le cas pour certains th&egrave;mes qui se placent sur le terrain de la morale, de la philosophie, de l&#39;&eacute;thique. Je peux appr&eacute;cier, en tant que spectateur, des &oelig;uvres faites dans cet esprit-l&agrave;, mais dans mon travail, ce n&#39;est pas &ccedil;a qui me parle.</p> <p><em><strong>Comment t&#39;es venue l&#39;id&eacute;e de parler de rugby f&eacute;minin ?</strong></em></p> <p>Au d&eacute;part, le rugby f&eacute;minin, c&rsquo;&eacute;tait surtout par go&ucirc;t du contre-pied : &ccedil;a permettait de faire porter au personnage f&eacute;minin des attributs masculins : une rudesse, des chansons paillardes, des blagues salaces&hellip; cette situation m&rsquo;amusait assez. Ensuite, lorsque j&rsquo;ai frapp&eacute; &agrave; la porte du Racing Club Paris 15, qui m&rsquo;a accueilli &agrave; bras ouverts, puis soutenu tout au long de cette aventure, j&rsquo;ai rencontr&eacute; des joueuses, j&rsquo;ai pu passer du temps avec elles, et j&rsquo;ai constat&eacute; que, tr&egrave;s loin des pr&eacute;jug&eacute;s ridicules qu&rsquo;on peut avoir, elles sont tr&egrave;s f&eacute;minines. Il se d&eacute;gage un naturel stup&eacute;fiant de ton film. Peux-tu nous dire o&ugrave; s&#39;arr&ecirc;te le r&eacute;el et o&ugrave; commence la fiction ? Le film est sc&eacute;naris&eacute;, mais j&#39;ai souhait&eacute; inverser les postulats habituels. Dans le cin&eacute;ma, on traque l&#39;erreur, l&#39;accident. Personnellement, je pense que le &laquo; petit accident &raquo;, le &laquo; petit d&eacute;faut &raquo; fait surgir un sentiment de r&eacute;el. Dans &laquo; la double crois&eacute;e &raquo;, quasiment tout &eacute;tait &eacute;crit, mais mon intention de d&eacute;part &eacute;tait de rebondir sur les situations, les suggestions et les probl&egrave;mes qui se pr&eacute;senteraient. J&#39;ai aussi essay&eacute; de restreindre le nombre des dialogues &laquo; imp&eacute;ratifs &raquo; ; j&#39;en ai gard&eacute; quelques-uns, car il existe dans le sc&eacute;nario des carrefours o&ugrave; il faut prendre, par le dialogue ou par le jeu, la bonne direction. C&#39;est autour de &ccedil;a qu&#39;on articulait la s&eacute;quence, mais le reste &eacute;tait &laquo; ouvert &raquo;. Travailler avec de nombreux non-com&eacute;diens permet de conserver cet esprit-l&agrave;. De plus, leur pr&eacute;sence am&egrave;ne naturellement les com&eacute;diens &agrave; &eacute;purer leur jeu. Ce naturel provient &eacute;galement du fait que les images sont cens&eacute;es &ecirc;tre capt&eacute;es par les personnages eux-m&ecirc;mes.</p> <p><em><strong>Ce choix n&#39;a-t-il pas compliqu&eacute; ton travail de r&eacute;alisateur ?</strong></em></p> <p>A vouloir faire un film comme s&#39;il s&#39;&eacute;tait fait par hasard, on pourrait imaginer que c&#39;est tr&egrave;s simple. Qu&#39;on peut mettre la cam&eacute;ra n&#39;importe o&ugrave; et laisser tourner ! La r&eacute;alit&eacute; est toute autre : c&rsquo;est une gymnastique complexe. Il s&#39;agissait de faire en sorte que l&#39;action se filme &laquo; toute seule &raquo;, comme si c&rsquo;&eacute;tait involontaire. Il fallait &agrave; la fois que ce qui se passe dans l&#39;image soit coh&eacute;rent et que la mani&egrave;re de filmer soit coh&eacute;rente avec les temp&eacute;raments des personnages eux-m&ecirc;mes. Je l&#39;ai v&eacute;cu comme un double niveau de difficult&eacute; permanent. Mais je crois effectivement que le naturel qui se d&eacute;gage du film (puisque c&rsquo;est une remarque qui revient souvent&nbsp;!) &eacute;mane &agrave; la fois des personnages et de la mani&egrave;re dont ils sont capt&eacute;s. Notre l&eacute;g&egrave;ret&eacute; technique, le fait que nous ayons choisi de travailler avec tr&egrave;s peu de mat&eacute;riel et tr&egrave;s peu de techniciens, nous a aussi beaucoup aid&eacute;s dans ce sens. Les lieux, les situations, conservaient des aspects tr&egrave;s quotidiens.</p> <p><strong><em>Ce film est vraiment tr&egrave;s empreint de bonne humeur. Pourtant, il est difficile d&#39;imaginer un tournage sans tensions. As-tu travaill&eacute; de fa&ccedil;on &agrave; les dissiper ?</em></strong></p> <p>On rigolait tout le temps&nbsp;! (rires) Non. On a beaucoup travaill&eacute;. Mais on s&rsquo;est aussi beaucoup amus&eacute;s. Mais compte tenu du nombre de param&egrave;tres techniques et humains en jeu sur un tournage, les moments de tension sont in&eacute;vitables&hellip; Comment j&rsquo;ai fait pour les dissiper&nbsp;? Euh&hellip; De mon mieux&nbsp;! (rires)... Plus s&eacute;rieusement, quand un probl&egrave;me survenait, je crois que j&rsquo;essayais de d&eacute;dramatiser au maximum. De toutes fa&ccedil;ons, je pense qu&rsquo;il est impossible d&rsquo;obtenir un film qui g&eacute;n&egrave;re une impression de bonne humeur si l&rsquo;ambiance de tournage est d&eacute;testable. Et je crois que cette bonne ambiance part d&rsquo;un principe simple : faire une grande confiance aux gens avec qui l&rsquo;on travaille. L&rsquo;&eacute;quipe dans laquelle joue Lucie donne vraiment envie de se mettre au rugby&nbsp;! Quel rapport entretiens-tu toi-m&ecirc;me avec ce sport ? Quand j&#39;ai eu une dizaine d&rsquo;ann&eacute;es, ma famille a emm&eacute;nag&eacute; dans le sud-ouest de la France. J&#39;ai d&eacute;couvert un coin o&ugrave; le rugby est un socle de la vie quotidienne, quelque chose de tr&egrave;s puissant. Je ne comprenais pas trop &agrave; l&#39;&eacute;poque le plaisir que mes camarades trouvaient &agrave; ce jeu de massacre. Puis j&#39;y ai jou&eacute; un peu au coll&egrave;ge et au lyc&eacute;e, et j&#39;y ai pris un certain plaisir. Petit &agrave; petit, j&rsquo;ai trouv&eacute; ce sport int&eacute;ressant : dans l&#39;engagement, la cr&eacute;ativit&eacute;, le courage, et esth&eacute;tiquement aussi. La philosophie qu&#39;il sous-tend a fini de me convaincre. La philosophie du rugby&nbsp;? (rires) C&rsquo;est-&agrave;-dire&nbsp;? Oui, c&rsquo;est un sport de philosophes&hellip; de philosophes tr&egrave;s muscl&eacute;s&nbsp;! (rires) En fait, la professionnalisation a eu pour effet un nivellement et une homog&eacute;n&eacute;isation des physiques. Mais quand j&#39;&eacute;tais ado, c&#39;&eacute;tait le seul sport o&ugrave;, dans la cour, on allait chercher le petit gros, au lieu de se foutre de sa gueule. C&rsquo;est parce qu&rsquo;il avait ce physique qu&rsquo;il allait trouver sa place : il ferait un bon premi&egrave;re ligne. Et le grand maigre &agrave; c&ocirc;t&eacute; de lui, on en avait besoin pour attraper les balles en touche. On reconnaissait la sp&eacute;cificit&eacute; de chacun, son caract&egrave;re unique. &Ccedil;a renvoie une belle image de la soci&eacute;t&eacute;. Chacun a sa place parce que chacun est valoris&eacute; pour ce qu&rsquo;il est, et les plus costauds sont amen&eacute;s &agrave; lutter pour offrir la balle &agrave; plus petit qu&#39;eux... Bon, il faut reconna&icirc;tre qu&rsquo;&agrave; l&rsquo;arriv&eacute;e, on finit quand m&ecirc;me par se rentrer dans le lard avec l&rsquo;&eacute;quipe adverse, ce qui est une image moins belle de la soci&eacute;t&eacute;&nbsp;! (rires) L&#39;actrice principale, Lucie Bernier, illumine le film d&#39;un bout &agrave; l&#39;autre. On dirait que le r&ocirc;le est &eacute;crit pour elle. &Ccedil;a m&#39;a &eacute;t&eacute; d&#39;autant plus facile de conserver la personnalit&eacute; de Lucie que je l&#39;avais rencontr&eacute;e alors que le film n&#39;&eacute;tait encore qu&#39;une id&eacute;e, et que ses qualit&eacute;s de com&eacute;dienne me paraissaient &eacute;videntes. J&#39;ai imagin&eacute; une personnalit&eacute; proche de la sienne. C&#39;est a priori moins flatteur de jouer le personnage de Kader, qui a une personnalit&eacute; tr&egrave;s effac&eacute;e, mais &ccedil;a demande un travail de com&eacute;dien tr&egrave;s fouill&eacute;, car il s&#39;agit de jouer quelqu&#39;un qui n&#39;est pas vu, quelqu&rsquo;un qui fuit. Ce n&#39;est pas simple d&#39;&ecirc;tre plac&eacute; face &agrave; un personnage tr&egrave;s central comme celui de Lucie, qui est l&agrave; pour illuminer, pour irradier et qui est film&eacute; de mani&egrave;re privil&eacute;gi&eacute;e. C&#39;est tout le m&eacute;rite de Samir d&#39;avoir r&eacute;ussi &agrave; endosser dans l&#39;histoire le r&ocirc;le qui est le mien : celui qui agence les images, qui leur donne du sens. Et il a r&eacute;ussi formidablement &agrave; endosser cette position difficile. Le Dogme t&rsquo;a-t-il influenc&eacute;&nbsp;? Oui. Au del&agrave; du fracas m&eacute;diatique qui l&#39;a accompagn&eacute; et de la rigidit&eacute; de ses pr&eacute;ceptes, le Dogme a transmis le message suivant : si on veut bien accepter certaines conditions, on peut faire des films avec tr&egrave;s peu de moyens. Au final, pour moi, ses &oelig;uvres ont &eacute;t&eacute; moins d&eacute;terminantes que la r&eacute;flexion qu&#39;il d&eacute;clenchait sur le support cin&eacute;matographique. Ce que j&rsquo;y ai vu, c&rsquo;est que l&#39;&oelig;uvre est riche du sens qu&#39;on y met, pas du mat&eacute;riau qu&#39;on a employ&eacute;. &Ccedil;a a l&#39;air b&ecirc;te de souligner &ccedil;a, mais c&#39;est important &agrave; une &eacute;poque o&ugrave; on passe notre temps &agrave; chiffrer les projets, et o&ugrave; la confusion entre &laquo;&nbsp;grand film&nbsp;&raquo; et &laquo;&nbsp;film cher&nbsp;&raquo; est entretenue en permanence. Quels sont tes projets justement ? Faire beaucoup d&rsquo;autres films ! Je travaille sur diff&eacute;rents projets et notamment &agrave; l&rsquo;&eacute;criture d&rsquo;un deuxi&egrave;me long m&eacute;trage. Le sc&eacute;nario devrait &ecirc;tre finalis&eacute; &agrave; l&rsquo;&eacute;t&eacute; prochain. Entretien recueilli par Z. Bellen</p>
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<p>Les films de l&#39;autre cougar 40 rue des Maronites +336 30 92 53 50</p>
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